samedi 28 février 2009

Projet BD ASCA

Une nouvelle planche est en ligne, dessinée par votre serviteur !

J'en profite pour ajouter que le lien vers les planches figure désormais dans la liste des "Sites à visiter". N'hésitez pas à vous y rendre par vous même chaque semaine afin de guetter les nouveautés !

N'hésitez pas à nous faire des retours par l'intermédiaire du blog, je transmettrai à qui de droit :). Prochaine planche la semaine prochaine : "C'est une canne !"

vendredi 27 février 2009

Signs

En me baladant (complètement par hasard, cela va de soi) sur le blog de ModZen, je suis tombé sur une vidéo particulièrement sympa, que je ne peux m'empêcher de véhiculer à mon tour.

Petit résumé de l'histoire pour les gens qui ne comprennent pas bien l'anglais :

Dialogue pendant la réunion :

le patron fait une blague de merde.

Message sur le répondeur :
C'est sa mère qui l'appelle pour savoir comment se passe la vie à la ville.
"- Ca doit être palpitant au milieu de tout ces gens. Pense à nous appeler quand tu sera rentré. Tu dois surement être à une fête avec des amis
- Le père : ou une petite amie !
Rires... toussah toussah..."

Pas vraiment besoin de paroles pour comprendre la suite.



Laissez-vous emporter, pas de mauvaise surprise, c'est promis.

lundi 16 février 2009

Projet BD ASCA

Voilà, c'est fait ! Le projet est en marche et promet de durer de longs mois.
Mais de quoi parle-je ? Nt nt nt... vous n'avez pas tout suivi !

Souvenez-vous donc...

La fréquence de parution est fixée à une planche par semaine. Aussi, je vous invite à retourner régulièrement sur le site de l'ASCA pour suivre les aventures des deux plus valeureux cannistes de tous les temps. Du rire, du sang, des larmes, de l'action et du sexe (mais sans le sexe) !

Que demande le peuple ?

"Cent balles et un mars !"

Ah, et pour le lien, c'est par là pour ceux qui n'ont pas déjà eu l'idée de cliquer sur le titre de l'article !

lundi 2 février 2009

Il neige.

Il neige...

Quand j'étais gosse et que ma mère venait me réveiller avec ces mots, je sautais du lit pour courir à ma fenêtre et m'y éclater le visage les yeux émerveillés devant le manteau blanc qui couvrait le sol. C'est tout juste si je ne sortait pas dans le jardin en pyjama.

Un rêve de gosse.

Ce matin, les mots n'ont pas sonné pareil dans ma tête.

Il neige...
Les transports vont être ralentit.
Peut-être annulés.
Tu va être à la bourre.
Tu va avoir froid.
Tu va manquer de te viander sur les trottoirs.
Top journée en perspective.

Et puis finalement une fois dehors, l'esprit de gamin a plus ou moins repris le dessus. Mais en plus mature. Plutôt que de m'intéresser aux côtés ludiques de la neige, j'en ai apprécié la simple beauté, le silence qui s'en dégageait comme une savoureuse musique. Pas de véhicule sur les routes. Pas un chat dehors. Pas de musique sur le trajet de la gare. Le seul crissement de mes bottes sur la neige a suffit à me contenter. Puis dans la forêt, le grésillement des flocons sur les branches des arbres.

Puis la gare...

Contraste. Cohue. Gens. Trop de gens. Bruit. Bordel. Chaleur. Trop de chaleur.

Finalement j'y serait bien retourné, dans le confort relatif de ma neige toute froide.
Elle au moins est silencieuse.

Puis l'école...

L'instant, le lieu fatidique d'où vont se dérouler les premières d'une longue série d'heures à rallonge et d'angoisse permanente.

Il pleut.