Je hais ce type, obsédé par l'argent, le comptant et le recomptant à chacune de ses dépenses.
Je déteste ce mec qui s'énerve à la moindre contrariété sans raison aucune.
J'abhorre ce faciès hideux dont les lambeaux de peau se détachent en permanence pour lui tapisser les épaules d'un amas d'énormes pellicules poudreuses.
J'exècre cette personne qui n'est pas capable de réagir avant d'être au pied du mur et qui joue avec le feu sans égard à son entourage.
Et finalement, ce qui me débecte le plus chez lui, c'est probablement qu'il soit conscient de tout ça mais qu'il n'en foute pas une pour changer de comportement. Et ça... ça me répugne.
lundi 2 août 2010
vendredi 30 juillet 2010
Museo Games : un histoire à rejouer
Bon, ça fait longtemps que je n'avais pas évoqué de truc geek. D'autant que mes derniers articles ne sont plus tout frais... Parlons donc un peu du Museo Games !
Il ne s'agit pas d'un musée, mais d'une simple exposition sur les jeux vidéos, de leur apparition à nos jours. Au programme, un résumé de la naissance du jeu vidéo, un petit mur d'écran sur lequel défilent plusieurs jeux d'anthologie (Mario, Sonic, Metal Slug, et autres Alex Kid et Wolfenstein). Puis on traverse un couloir dont les murs/vitrines sont garnis jusqu'au plafond de vieilles consoles et jeux de société en tout genre (des connus mais surtout des moins connus pour ma part).
On déboule ensuite dans une grande salle que je qualifierai "d'arcade" : une immense table sépare la salle en deux. Sur chaque longueur, sont disposés pas loin d'une dizaine d'écrans, pour autant de consoles : Dreamcast, Famicom, Neo-Geo, Vectrex, Atari2600, Gamecube, N64, Playstation 1 et 2, SuperGameboy...
... et les jeux qui vont avec ! Enfin un jeu par console. Tous ne sont pas jouables et certaines manettes sont déjà usées jusqu'à la moelle, mais c'est un véritable plaisir que de rejouer à Lemmings, Pong, Pacman, Goldeneye, Mario Kart (premier du nom) ou même le plus récent Rogue Leader. Et le meilleur reste finalement la découverte des jeux pourtant mythiques auxquels on n'a pas forcément eu l'occasion de jouer : Alex Kid et Metal Slug en ce qui me concerne, mais aussi quelques autres jeux inconnus au bataillon et pourtant tout aussi addictifs.
Sur les murs derrière chaque joueur, se trouve un écran géant où est diffusé sa partie en direct, afin que les simples spectateurs n'en perdent pas une miette (ou qu'on puisse se moquer des débutants en les pointant du doigt et en riant bien fort).
Ceci-dit, les jeux vidéos ne sont pas tout de suite arrivés à nous sous la forme de consoles de salon. Quid des bornes d'arcade ? Et bien il y en a ! Désolé pour les hardcore-gamers, mais je ne saurais pas vous donner les noms de toutes les bornes présentes, bien qu'elles ne soient pas nombreuses (8 me semble-t-il). Néanmoins, vous pourrez retrouver des perles comme Street-Fighter 2, ou Time-Traveler, ainsi qu'un jeu de livraison de pizza, un de basket, deux shoot'em up, un jeu de tir (façon Time crisis), et un jeu de course automobile à peu prêt aussi poussé que les premiers du genre sur Game Boy.
La visite dure 1h30. Étant arrivés pour la dernière séance de la journée, nous avons bien du y rester deux heures, qui sont passée fort vite !
En bref : il s'agit principalement d'une expo permettant aux plus jeunes joueurs ou aux nostalgiques de (re)découvrir les jeux et consoles d'un autre temps. On regrette d'abord le manque d'explications ou d'anecdotes croustillantes à se mettre sous la dent, avant de se rendre compte que ça nous laisse plus de temps pour jouer.
À vous de voir pourquoi vous vous déplacez :) !
L'expo se tient au Conservatoire National des Arts et Métiers jusqu'au 7 novembre 2010. Plus d'info sur leur site !
Et ce n'est pas tout !
Il ne s'agit pas d'un musée, mais d'une simple exposition sur les jeux vidéos, de leur apparition à nos jours. Au programme, un résumé de la naissance du jeu vidéo, un petit mur d'écran sur lequel défilent plusieurs jeux d'anthologie (Mario, Sonic, Metal Slug, et autres Alex Kid et Wolfenstein). Puis on traverse un couloir dont les murs/vitrines sont garnis jusqu'au plafond de vieilles consoles et jeux de société en tout genre (des connus mais surtout des moins connus pour ma part).
On déboule ensuite dans une grande salle que je qualifierai "d'arcade" : une immense table sépare la salle en deux. Sur chaque longueur, sont disposés pas loin d'une dizaine d'écrans, pour autant de consoles : Dreamcast, Famicom, Neo-Geo, Vectrex, Atari2600, Gamecube, N64, Playstation 1 et 2, SuperGameboy...
... et les jeux qui vont avec ! Enfin un jeu par console. Tous ne sont pas jouables et certaines manettes sont déjà usées jusqu'à la moelle, mais c'est un véritable plaisir que de rejouer à Lemmings, Pong, Pacman, Goldeneye, Mario Kart (premier du nom) ou même le plus récent Rogue Leader. Et le meilleur reste finalement la découverte des jeux pourtant mythiques auxquels on n'a pas forcément eu l'occasion de jouer : Alex Kid et Metal Slug en ce qui me concerne, mais aussi quelques autres jeux inconnus au bataillon et pourtant tout aussi addictifs.
Sur les murs derrière chaque joueur, se trouve un écran géant où est diffusé sa partie en direct, afin que les simples spectateurs n'en perdent pas une miette (ou qu'on puisse se moquer des débutants en les pointant du doigt et en riant bien fort).
Ceci-dit, les jeux vidéos ne sont pas tout de suite arrivés à nous sous la forme de consoles de salon. Quid des bornes d'arcade ? Et bien il y en a ! Désolé pour les hardcore-gamers, mais je ne saurais pas vous donner les noms de toutes les bornes présentes, bien qu'elles ne soient pas nombreuses (8 me semble-t-il). Néanmoins, vous pourrez retrouver des perles comme Street-Fighter 2, ou Time-Traveler, ainsi qu'un jeu de livraison de pizza, un de basket, deux shoot'em up, un jeu de tir (façon Time crisis), et un jeu de course automobile à peu prêt aussi poussé que les premiers du genre sur Game Boy.
La visite dure 1h30. Étant arrivés pour la dernière séance de la journée, nous avons bien du y rester deux heures, qui sont passée fort vite !
En bref : il s'agit principalement d'une expo permettant aux plus jeunes joueurs ou aux nostalgiques de (re)découvrir les jeux et consoles d'un autre temps. On regrette d'abord le manque d'explications ou d'anecdotes croustillantes à se mettre sous la dent, avant de se rendre compte que ça nous laisse plus de temps pour jouer.
À vous de voir pourquoi vous vous déplacez :) !
L'expo se tient au Conservatoire National des Arts et Métiers jusqu'au 7 novembre 2010. Plus d'info sur leur site !
Et ce n'est pas tout !
mercredi 28 juillet 2010
Le dernier maître de l'air
Avatar : Le dernier maître de l'air, est initialement une série animée américaine, dans laquelle Katara et Sokka, deux jeunes enfants de la Nation de l'eau, sortent de la glace un jeune enfant nommé Aang, qui s'avère être la dernière réincarnation de l'Avatar.
Or, il s'avère que la Nation du feu souhaite ardemment (haha...) mettre la main sur l'Avatar, afin de pouvoir asseoir sa domination sur les autres Nations (Terre et Air donc). Du moins ce qu'il en reste.
Or, il s'avère que la Nation du feu souhaite ardemment (haha...) mettre la main sur l'Avatar, afin de pouvoir asseoir sa domination sur les autres Nations (Terre et Air donc). Du moins ce qu'il en reste.
Si l'histoire en elle même manque un peu d'originalité, la série est assez chouette à regarder, les personnages principaux assez attachants et le style global assez fluide. L'univers est bien construit et cohérent, tout en rassemblant pas mal de références aux mythes et légendes asiatiques. En gros, c'est sympa mais on n'en rêve pas la nuit.
La série est découpé en trois saisons (le livre de l'eau, de la terre et du feu) de 20 épisodes chacune.
Donc ça, c'était pour la série animée. Le film ? Et bien... Très franchement je le trouve raté... Je m'explique.
En ce qui concerne l'adaptation en elle-même, elle est plutôt propre et bien menée. C'est un exercice assez compliqué que de résumer 20 épisodes dans un seul film... je considère ici que M. Night Shyamalan s'est plutôt bien débrouillé.
Pour parler un peu 3D, je trouve encore une fois qu'elle est plutôt bien dosée. On ne s'en prend pas sans-cesse plein la tronche (et pourtant, il y aurait de quoi) et les vastes étendues de banquise et de terre prennent une profondeur qui force le respect de la nature (aussi virtuelle soit-elle).
Le scénario est très enfantin (en terme de maturité)... et alors ? Je rappelle qu'il s'agit à la base d'un dessin animé pour enfant. Pas de souci de ce côté la non plus donc.
Regarde, je me pince un téton !
Mais c'est quoi ton problème alors ?
Premièrement : la version française. La flemme légendaire qui m'aura poussé à me rendre au Gaumont du bout de la rue m'a également infligé un spectacle de doublage tout juste navrant. Celui des enfants surtout.
Je comprends que l'on fasse doubler des enfants par d'autres enfants. C'est logique. Naturel. Mais dans ce cas, il faut prendre des enfants qui savent jouer quoi... :s.
Deuxièmement : le jeu d'acteur de l'avatar. Noah Ringer détruit complètement le personnage de la série.
Oui, l'avatar est un enfant qui manque d'assurance. Mais quand il parle il inspire quand même le respect merde. Le pseudo discours qu'il adresse aux maîtres de la Terre pour les pousser à la rébellion est vide et sans animation. En fait on a plutôt l'impression que l'Avatar est sans-cesse sur la défensive alors qu'il est censé être un gamin plutôt jovial. Couplé au mauvais doublage, le résultat est assez désastreux.
Troisièmement : Les scènes d'actions. Autant les mouvements calqués sur le kung-fu et le tai-chi sont classes et relativement bien exécutés (suffisamment pour le spectateur lambda : moi), autant les chorégraphies des combat laissent à désirer. La première véritable scène d'action du film est quand même censée nous procurer un espèce de sentiment de libération, de "Woaaah", de "Oh putain la boule de feu là !" et de "Il est tous en train de les enchaîner, j'adore !". C'est la première scène d'action du film ! Y'a un maître de l'air et des maîtres de la terre qui se mettent sur la gueule avec des maîtres du feu quoi merde ! C'est une rébellion ! Mais bougez vous le train !
Au lieu de ça, on à droit à une gentille partie de ping-pong :
Aang : Attaque Tornade !
Gamine : Attaque jet-pierre !
Vilain : Attaque lance-flamme !
Gamine se protège.
Pause.
Vilain : Attaque lance-flamme !
Gamine se fait protéger.
Pause.
Aang : Contre attaque !
Vilain : Bloque
Pause.
Vilain : Contre-attaque !
Etc.
Je ne dis pas que cette scène aurait du ressembler à une mêlée générale, loin de là, mais il aurait fallu plus de réactivité quoi. Même un match Pokémon est plus dynamique... Là tout le monde hésite 15 secondes avant chaque action. C'est chiant.
Quant aux scènes de mêlée générale et bien... pour le coup c'est trop le bordel. Mais pas un joli bordel, plutôt une espèce de chaos informe où on ne comprend pas qui est qui, ni qui fait quoi, quelques scènes mises à part où les maîtres sont en action. Quand je dis quelques, c'est 3 minutes cumulées sur 40 minutes de bataille.
Alors oui, les champ de batailles ne sont pas censés être tous propres, loin de là. Sauf que le réalisateur nous a fait miroiter de belles batailles dignes du cinéma asiatique "traditionnel" mais que c'est joliment raté.
En résumé, le film est vraiment beau à voir, surtout en 3D, mais ne remportera probablement de réel succès qu'auprès des enfants ou des véritables fans de la série. Il est censé y en avoir deux autres... c'est toujours ça de moins que j'attendrai avec impatience ^^...
PS : Ah et puis aussi ! Quand dans la version française, le général Zao s'adresse à Aang en lui disant "Comment se fait-il que vous n'ayez utilisé que votre maîtrise de l'eau ?" alors qu'il n'a utilisé que sa maîtrise de l'air, ça ne choque que moi ? C'est quand même le genre de bourde choquante qu'on ne laisse pas passer quoi...
jeudi 8 juillet 2010
Moi j'aime pas [compléter par la mention appropriée]
Je me souviens de mes premiers pas dans le monde du "théâtre". Île de la Réunion, approximativement 4 ans. Je suis en maternelle (en moyenne section je crois) et l'école organise un spectacle de fin d'année. Classique. Je ne me souviens plus trop du numéro que les profs avaient montés, mais c'était à base de schtroumpfs, de tortues ninja et de princesse à sauver...
...ca devait être la moyenne section...
Bon ça va arrêtez de rire, j'étais en maternelle je vous dit !
Bref.
Tout ça pour dire qu'en tant que jeune lecteur et à cause de mes lunettes, j'avais été élu (désigné par les profs en fait) pour incarner le rôle du schtroumpf intelligent (j'avais refusé d'être le schtroumpf à lunettes... il s'en ramasse toujours plein la gueule par le schtroumpf costaud). Mon rôle était grossièrement celui de lire dans un micro, trois répliques inscrites sur un bout de papier, qui mentionnaient grossièrement un truc du genre :
"Elle est là-bas ! Suivons la carte et allons la sauver ! Je vais vous indiquer le chemin."
Suite à quoi nous effectuions trois tours de scène (de préau) sur une petite musique entraînante, avant de nous faire attaquer par des tortues ninja (donc), qui avaient pour but de nous barrer la route. Ca va qu'on avait le schtroumpf costaud avec nous pour leur rétamer la gueule quand même.
...bref. je me souviens difficilement du reste, si ce n'est que la musique de la bataille était O Fortuna, de Carl Orff (Carmina Burana, premier ou deuxième mouvement, j'ai un doute. Ca quoi.).
Mais tout ça pour dire... quoi déjà ?
Ah oui. Quand il fait chaud, j'ai tendance à me prendre un peu trop souvent pour le schtroumpf grognon. Je m'en excuse par avance auprès des proches que ça incommode (je serai incapable de vous en présenter en face par un temps pareil de toute façon).
Voilà voilà...
... tout ça pour ça ?
vendredi 18 juin 2010
Reprise du service
Après quelques temps d'absence, j'ai finalement décidé de reprendre la main sur ce bleurg. Ne me demandez pas pourquoi. J'ai eu envie de partager deux trois choses et j'estime que le meilleur moyen de faire ça reste un blog.
On the road again donc. Pour le pire. Surtout.
On the road again donc. Pour le pire. Surtout.
lundi 19 octobre 2009
Parcequ'il faut une fin à tout...
Ca va faire un moment maintenant, que je n'ai plus nourri ce gouffre abyssal que peut-être ce blog. Je pense ne plus le faire.
Aussi ne vous attendez plus à retrouver de nouveau message ici.
Bonne continuation !
Aussi ne vous attendez plus à retrouver de nouveau message ici.
Bonne continuation !
mardi 26 mai 2009
Achat compulsif
Le tout en une journée. Somme totale : 1 037,88 euros (soit : beaucoup d'argent).
Attention aux âmes sensibles. Si vous avez encore un tant soit peu d'estime pour moi, ne lisez pas la suite de cet article. J'ai honte. Mais j'assume.
Mais quand même j'ai honte.
Par ordre de prix :
Le dernier numéro du magazine "Advanced Creation" : 7,90€
Première pulsion de la soirée. Je glandais à Châtelet, lorsque "Oh ! Un Relay !". M'y rendant donc d'un pas ni vif, ni alerte (je glandais après tout), je me suis demandé ce que je pourrais bien y trouver. Après avoir longtemps hésité entre Mana Rouge (histoire de me tenir au jus de Magic), ou Advanced Creation (pour me tenir au jus de ce qui se fait dans mon taff), j'ai opté pour la solution la plus sage.
Un coque de protection DSi bleu métalisée : 9,99€
Bon, Il se trouve qu'à Châtelet, ily a aussi une foultitude des coins où je peux trouver du matos de consoles. Et j'avais encore envie d'acheter ! C'est pourquoi j'ai choisi d'aller à la Fédération Nationale des Acheteurs Compulsifs (je m'aime), où j'ai dégotté cet accessoire, pas vraiment indispensable, mais pas inutile non plus sur le long terme.
J'y ai aussi trouvé...
Le guide stratégique de Pokémon : version Platine : 19,99€
Bon... c'est là que j'ai honte. Pas besoin d'en dire beaucoup plus : il s'agit de la "bible" officielle du jeu. Comme j'avais envie de m'investir un peu plus dedans que la version précédente, sans passer des heures dans le jeu pour tomber moi-même sur des détails hasardeux, ce bouquin fera une parfait livre de chevet pour les six prochains mois.
J'assume.
Et enfin.
Un MacBook 13 pouces : 1000€
Bon, plusieurs choses. D'abord, ça rassure de voir qu'une telle somme dépensée en une journée l'est à cause d'un pareil achat. Ensuite, cet achat était prévu de longue date (au moins une semaine...o:}...), et donc par conséquent pas tout à fait compulsif.
C'est mon nouveau bébé :'}...
Qui a dit que je n'aimais pas les enfants... ?
Attention aux âmes sensibles. Si vous avez encore un tant soit peu d'estime pour moi, ne lisez pas la suite de cet article. J'ai honte. Mais j'assume.
Mais quand même j'ai honte.
Par ordre de prix :
Le dernier numéro du magazine "Advanced Creation" : 7,90€
Première pulsion de la soirée. Je glandais à Châtelet, lorsque "Oh ! Un Relay !". M'y rendant donc d'un pas ni vif, ni alerte (je glandais après tout), je me suis demandé ce que je pourrais bien y trouver. Après avoir longtemps hésité entre Mana Rouge (histoire de me tenir au jus de Magic), ou Advanced Creation (pour me tenir au jus de ce qui se fait dans mon taff), j'ai opté pour la solution la plus sage.
Un coque de protection DSi bleu métalisée : 9,99€
Bon, Il se trouve qu'à Châtelet, ily a aussi une foultitude des coins où je peux trouver du matos de consoles. Et j'avais encore envie d'acheter ! C'est pourquoi j'ai choisi d'aller à la Fédération Nationale des Acheteurs Compulsifs (je m'aime), où j'ai dégotté cet accessoire, pas vraiment indispensable, mais pas inutile non plus sur le long terme.
J'y ai aussi trouvé...
Le guide stratégique de Pokémon : version Platine : 19,99€
Bon... c'est là que j'ai honte. Pas besoin d'en dire beaucoup plus : il s'agit de la "bible" officielle du jeu. Comme j'avais envie de m'investir un peu plus dedans que la version précédente, sans passer des heures dans le jeu pour tomber moi-même sur des détails hasardeux, ce bouquin fera une parfait livre de chevet pour les six prochains mois.
J'assume.
Et enfin.
Un MacBook 13 pouces : 1000€
Bon, plusieurs choses. D'abord, ça rassure de voir qu'une telle somme dépensée en une journée l'est à cause d'un pareil achat. Ensuite, cet achat était prévu de longue date (au moins une semaine...o:}...), et donc par conséquent pas tout à fait compulsif.
C'est mon nouveau bébé :'}...
Qui a dit que je n'aimais pas les enfants... ?
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